Solitude du ciel
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Prix régulier 25,00 € TTC 6%
Le Douglas Skyrocket était un avion expérimental supersonique propulsé par moteur-fusée et construit par la Douglas Aircraft Company pour la marine des États-Unis, ...
Caractéristiques
| Format | 15,5 x 21,3 x 2,2 cm |
| Nbr. de pages | 221 |
| Traduction | Traduit de l’américain par Jean GRAVRAND |
| Finition | Broché |
| Année d’édition | 1956 |
| Langue | Français |
| Auteur | Jacqueline Hazard |
Description
Pilote de la Marine démobilisé, William Bridgeman trouva très vite qu'une vie sans risque lui était impossible. Il se fit donc engager à la Cie Douglas comme ingénieur pilote d'essai et on lui demanda alors la mise au point et les derniers essais du Douglas Skyrocket.
Ces avions, au nez aiguille, les plus rapides du monde étaient bien à la mesure de Bridgeman, il releva le défi et c'est l'histoire quotidienne de la vie de l'homme et de celle de l'appareil qu'il raconte dans son livre.
En sa qualité de premier pilote d'essai de l'aviation américaine, Bridgeman est un technicien de grande classe qui sait faire partager à son lecteur son admiration pour l'extraordinaire merveille mécanique qu'il avait à dompter.
Il parvient par son écriture à faire partager ces étonnantes sensations de puissance que donne le maniement du prestigieux engin.
Enfin, comme pour un Saint-Exupéry, le ciel est devenu pour lui une sorte de domaine enchanté ; ainsi qu'il le dit lui même, il mène son bolide « comme un poulain dans un pré bleu » ...
Ces avions, au nez aiguille, les plus rapides du monde étaient bien à la mesure de Bridgeman, il releva le défi et c'est l'histoire quotidienne de la vie de l'homme et de celle de l'appareil qu'il raconte dans son livre.
En sa qualité de premier pilote d'essai de l'aviation américaine, Bridgeman est un technicien de grande classe qui sait faire partager à son lecteur son admiration pour l'extraordinaire merveille mécanique qu'il avait à dompter.
Il parvient par son écriture à faire partager ces étonnantes sensations de puissance que donne le maniement du prestigieux engin.
Enfin, comme pour un Saint-Exupéry, le ciel est devenu pour lui une sorte de domaine enchanté ; ainsi qu'il le dit lui même, il mène son bolide « comme un poulain dans un pré bleu » ...