Objectif TOKYO
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Le 9 mars 1945, la plus violente attaque aérienne qu'on ait jamais enregistrée fut lancée contre le Japon.
Six heures pour détruire une ville.
Caractéristiques
Format | 10,8 x 18 x 1,5 cm |
Nbr. de pages | 248 |
Traduction | Titre original: A TORCH TO THE ENNEMY – Traduit de l’anglais par L. Et F. HESS |
Finition | Cartonné |
Année d’édition | 1962 |
Langue | Français |
Auteur | Martin Caidin |
Editeur | Presses de la Cité |
Description
Le 9 mars 1945, la plus violente attaque aérienne qu'on ait jamais enregistrée fut lancée contre le Japon. Objectif : Tokyo, à plus de 3 000 kilomètres de là.
Pour le général Le May, ce raid a été le plus grand coup de poker de sa carrière, un coup de poker qui pouvait conduire au désastre. Pour les équipages des bombardiers, ce fut une mission pas comme les autres. En effet, pour la première fois, les superforteresses volantes, chargées à la limite de leurs possibilités, sans aucune mitrailleuse de protection, devaient attaquer Tokyo en rase-mottes.
Pour les Japonais, ce fut une nuit d'horreur et de mort. Elle ne peut-être comparée à aucun autre désastre, pas même aux bombes atomiques d'Hiroshima ou de Nagasaki, qu'il s'agisse des pertes en vies humaines, ou des dégâts matériels qu'en six heures à peine les vagues successives de bombardiers infligèrent à la capitale du Japon : 35 kilomètres carrés de ville détruits, plus de 100 000 morts.
Pour le général Le May, ce raid a été le plus grand coup de poker de sa carrière, un coup de poker qui pouvait conduire au désastre. Pour les équipages des bombardiers, ce fut une mission pas comme les autres. En effet, pour la première fois, les superforteresses volantes, chargées à la limite de leurs possibilités, sans aucune mitrailleuse de protection, devaient attaquer Tokyo en rase-mottes.
Pour les Japonais, ce fut une nuit d'horreur et de mort. Elle ne peut-être comparée à aucun autre désastre, pas même aux bombes atomiques d'Hiroshima ou de Nagasaki, qu'il s'agisse des pertes en vies humaines, ou des dégâts matériels qu'en six heures à peine les vagues successives de bombardiers infligèrent à la capitale du Japon : 35 kilomètres carrés de ville détruits, plus de 100 000 morts.