Les chemins du ciel, récit de la Première Aviatrice Brevetée en Belgique
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Caractéristiques
Finition | Broché collé |
Particularités | Notes manuscrites |
État | Occasion état neuf |
Nb. de pages | 380 |
Langue | Français |
Format | 15 x 21 x 2 cm |
Auteur | Cécile Heems |
Description
Cet ouvrage est tiré du « Carnet de Vol » d'une jeune fille belge, hôtesse de l'air et pilote. Tous les faits relatés sont rigoureusement authentiques. Il en est de même pour les personnages qui ont réellement existé. C'est avec simplicité que l'auteur dédie ces pages, qui furent écrites avec une certaine nostalgie, tout d'abord à son moniteur, Henri De Boeck, à tous ceux qui ont partagé les moments difficiles lors des voyages, et à ceux et à celles qui rêvent d'avoir des ailes.
Uittreksel uit het artikel https://www.bjornanseeuw.be/nieuws/vliegenierster-cecile-heems-wordt-geeerd-in-het-oostendse-straatbeeld
Het is niet zonder moeite dat ze daarin slaagt. Haar lange en moeilijke weg naar het behalen van een beroepsbrevet beschreef ze in het boek ‘Les Chemins du ciel’ (‘de wegen van de lucht’). Om het nodige geld te kunnen verdienen voor haar opleiding als piloot, werd Cécile airhostess. In april 1946 maakt zij deel uit van de eerste naoorlogse promotie van hostesses voor Sabena. Vervolgens doorkruiste ze de hele wereld met verschillende Belgische luchtvaartmaatschappijen en bouwde ze een loopbaan uit in het Belgisch Leger.
Avant-propos
A l'heure où les femmes sont capables de piloter des Boeing, peut-être vous demandez-vous : « pourquoi parler encore de celles qui n'avaient que des « Piper-Cub », « Aéronca », « Auster », ou autres avions légers à piloter ?
N'est-il pas bon de regarder quelquefois en arrière afin de savoir comment tout a commencé ?
Les jeunes filles d'aujourd'hui ont, enfin, la chance de pouvoir entreprendre une carrière dans l'aviation commerciale ou militaire si cela les attire. Mais, celles qui étaient là « avant », celles qui ont ouvert la voie, comment ont-elles fait ?
Cela n'a certes pas été facile pour les premières aviatrices qui devaient ou voulaient gagner leur vie en volant, et surtout en Belgique. Elles ont dû consentir de lourds sacrifices et, bien souvent n'avaient l'occasion de faire des vols rémunérés que « sporadiquement » et ce, généralement durant la belle saison, ce qui impliquait donc un autre métier pour l'hiver, à moins d'être fortunées, comme certaines mais peu d'entre elles.
Ce sont néanmoins ces jeunes filles-là qui ont montré le chemin et peut-être aussi qui ont ouvert les yeux aux dirigeants des compagnies aériennes, à qui il a fallu le temps pour comprendre que le sexe n'avait rien à voir avec les qualités d'un(e) pilote.
Si déjà vous avez lu l'histoire de l'une ou l'autre d'entre elles (car elles ont écrit leur vie), alors vous pouvez comparer l'aviation des années 46/47 à celles des années 80, qui étaient bien différentes. En 35 ans, les choses ont heureusement évolué dans le domaine de l'accession...