LA FRANCE DÉSARMÉE
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Pourquoi la France ne veut-elle pas, pour sa propre armée, de l'avion de combat qu'elle essaie de vendre à d'autres ? N'est-ce pas troublant ? Le Gouvernement n'a-t-il pas eu tort de laisser le constructeur Marcel Dassault définir à sa place la politique aéronautique de la France ?
Caractéristiques
Format | 14 x 21 x 1,5 cm |
Nbr. de pages | 203 |
Finition | Broché collé |
Année d’édition | 1974 |
Langue | Français |
Etat du livre | Bon |
Auteur | Paul Stehlin |
Editeur | Calmann-Lévy |
Description
Pourquoi la France ne veut-elle pas pour sa propre armée l'avion de combat qu'elle essaie de vendre à d'autres ? N'est-ce pas troublant ? Le Gouvernement n'a-t-il pas eu tort de laisser le constructeur Marcel Dassault définir à sa place la politique aéronautique de la France ?
Il faudrait un grand débat. Un débat public sur la politique industrielle et militaire de la France. Mais le Gouvernement ne veut pas d'un tel débat. Alors il choisit de sanctionner Paul Stehlin parce qu'il a été chef d'état-major de l'armée de l'Air et qu'il n'a pas le droit d'avoir un avis public sur la politique de son pays. Le Gouvernement croyait étouffer l'affaire. Il la relance. Mis à la retraite définitive le 13 novembre 1974, Paul Stehlin est aujourd'hui juridiquement libre. Et il parle. Il s'explique sur ses démêlés avec le général de Gaulle, puis avec Pompidou. Sur ses rapports avec Giscard. Sur les dessous ignorés de l' « affaire ». Il pense que le monde peut basculer demain dans une Troisième Guerre mondiale et que la France ne sera pas prête pour y faire face.