LA DERNIÈRE RAFALE
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Prix régulier 30,00 € TTC 6%
Souvenirs d'un pilote de chasse allemand, d'un homme qui n'était soldat que par la mobilisation.
Caractéristiques
Format | 14,5 x 19,5 x 2,2 cm |
Nbr. de pages | 268 |
Traduction | Traduit de l’allemand par Henri Daussy |
Finition | Broché |
Année d’édition | 1955 |
Langue | Français |
Auteur | Peter Henn |
Editeur | Julliard (Paris) |
Description
Préface de Jules Roy
Mémoires de l'auteur, Alfons Schertl, écrivant sous pseudonyme. Né en 1920, il est jeté dans la bataille en juillet 1943 comme pilote de Messerschmitt 109 sur le front italien lors du débarquement allié en Sicile, puis on l'envoie en Allemagne, et à nouveau en Italie durant le premier trimestre 1944. Son groupe est alors dirigé vers la Roumanie pour défendre les puits de pétrole de Ploesti.
En avril, un mécanicien roumain sabote son avion, son moteur explose en vol mais il survit. Après un séjour dans des hôpitaux roumains, il est assigné à des fonctions administratives au sein de la Luftwaffe puis est envoyé combattre en Silésie, bombarde Bastogne en décembre 1944 puis des aérodromes alliés le 1er janvier 1945. Il est alors renvoyé sur le front oriental en Silésie, puis à Dresde. En mars, son groupe est en Tchécoslovaquie. Le 23 avril, commandant une escadrille de 6 avions, le sien est abattu. Il saute en parachute et est capturé par les Soviétiques. Amputé des deux jambes, il est libéré en 1947.
Le livre
Souvenirs d'un pilote de chasse allemand, d'un homme qui n'était soldat que par la mobilisation. Le récit de Peter Henn frappe par sa sincérité lucide, par son accent humain. Mobilisé au moment du débarquement en Sicile et envoyé en Italie, dès le début, Peter Henn sentait que la guerre était perdue pour l'Allemagne et il combattait cependant avec tout son courage et toute sa loyauté contre l'ennemi tellement plus puissant.
Dès ses premiers vols, son avion est amputé de la moitié de son fuselage et il réussit néanmoins à regagner une base. Plus tard, au dessus de Viterbe, il est abattu deux fois ; la première, il réussit à poser son appareil, la seconde, il saute de 8 000 mètres, son parachute se déchire et la chance seule lui permet d'atterrir sain et sauf. Envoyé en Roumanie, son avion est saboté et explose en vol. Une troisième fois, il échappe à la mort, mais désormais inapte au vol, il est muté à l'État-Major. Révolté par le spectacle de l'aveuglement et du sectarisme des hautes sphères, il réussit à se faire réintégrer dans un groupe d'assaut pendant la campagne des Ardennes. Enfin, il est envoyé sur le Front Russe, qui est alors en Tchécoslovaquie, où, pour la dernière fois, il est abattu. Blessé, il voit s'avancer vers lui les chenilles des tanks russes...
Mémoires de l'auteur, Alfons Schertl, écrivant sous pseudonyme. Né en 1920, il est jeté dans la bataille en juillet 1943 comme pilote de Messerschmitt 109 sur le front italien lors du débarquement allié en Sicile, puis on l'envoie en Allemagne, et à nouveau en Italie durant le premier trimestre 1944. Son groupe est alors dirigé vers la Roumanie pour défendre les puits de pétrole de Ploesti.
En avril, un mécanicien roumain sabote son avion, son moteur explose en vol mais il survit. Après un séjour dans des hôpitaux roumains, il est assigné à des fonctions administratives au sein de la Luftwaffe puis est envoyé combattre en Silésie, bombarde Bastogne en décembre 1944 puis des aérodromes alliés le 1er janvier 1945. Il est alors renvoyé sur le front oriental en Silésie, puis à Dresde. En mars, son groupe est en Tchécoslovaquie. Le 23 avril, commandant une escadrille de 6 avions, le sien est abattu. Il saute en parachute et est capturé par les Soviétiques. Amputé des deux jambes, il est libéré en 1947.
Le livre
Souvenirs d'un pilote de chasse allemand, d'un homme qui n'était soldat que par la mobilisation. Le récit de Peter Henn frappe par sa sincérité lucide, par son accent humain. Mobilisé au moment du débarquement en Sicile et envoyé en Italie, dès le début, Peter Henn sentait que la guerre était perdue pour l'Allemagne et il combattait cependant avec tout son courage et toute sa loyauté contre l'ennemi tellement plus puissant.
Dès ses premiers vols, son avion est amputé de la moitié de son fuselage et il réussit néanmoins à regagner une base. Plus tard, au dessus de Viterbe, il est abattu deux fois ; la première, il réussit à poser son appareil, la seconde, il saute de 8 000 mètres, son parachute se déchire et la chance seule lui permet d'atterrir sain et sauf. Envoyé en Roumanie, son avion est saboté et explose en vol. Une troisième fois, il échappe à la mort, mais désormais inapte au vol, il est muté à l'État-Major. Révolté par le spectacle de l'aveuglement et du sectarisme des hautes sphères, il réussit à se faire réintégrer dans un groupe d'assaut pendant la campagne des Ardennes. Enfin, il est envoyé sur le Front Russe, qui est alors en Tchécoslovaquie, où, pour la dernière fois, il est abattu. Blessé, il voit s'avancer vers lui les chenilles des tanks russes...