HÉLÈNE BOUCHER aviatrice
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Prix régulier 20,00 € TTC 6%
Enfermée dans le cockpit de son Rafale, à plus de 445 km/h, Hélène Boucher fonce aux commandes de l'avion-requin et pulvérise le record de vitesse toutes catégories
Caractéristiques
Format | 14 x 20 x 0,8 cm |
Nbr. de pages | 94 |
Finition | Broché |
Année d’édition | 1937 |
Langue | Français |
Collection / Série | Collection Plon |
Editeur | PARIS LIBRAIRIE PLON |
Description
Résumé
Enfermée dans le cockpit de son Rafale, à plus de 445 km/h, Hélène Boucher fonce aux commandes de l'avion-requin et pulvérise le record de vitesse toutes catégories. Trois mois plus tard, à l'âge de vingt-six ans, la ’ Fiancée de l'air’ s'écrase près du terrain de Guyancourt, après un vol d'entraînement. Une nation entière va prendre le deuil de celle qu'on appellera désormais la ’ Jeune Fille de France ’. Issue d'une famille bourgeoise, elle aurait pu suivre la voie de son père, architecte de renom. Elle préféra les vertiges de l'acrobatie aérienne, à laquelle l'initia le roi de la discipline, Michel Détroyat.
Là-haut, elle se détachait du quotidien terrestre et se jouait de la mort. Hélène Boucher se fit remarquer en février 1933 lors d'un raid France-Irak. Puis elle battit le record d'altitude féminin. En octobre, le public du meeting de voltige de Villacoublay s'enthousiasma pour ses évolutions acrobatiques ; elle ’ filait comme une hirondelle un jour d'orage, au ras des arbres ’, dira l'aviatrice Madeleine Charnaux. Dans le tumulte des Années folles surgit une aviatrice douée, dotée d'un immense appétit de réussite. Impétueuse et résolue, celle que la presse allait comparer à Jeanne d'Arc deviendra bientôt la ’ jeune fille de France ’. Bien malin qui eût prédit la trajectoire fulgurante de cette Parisienne, née en 1908, prise de passion pour l'air et la vitesse, qui consuma sa vie durant 26 années intenses, pulvérisa sept records du monde avant de s'écraser à bord d'un Rafale près de Guyancourt, en 1934.
Enfermée dans le cockpit de son Rafale, à plus de 445 km/h, Hélène Boucher fonce aux commandes de l'avion-requin et pulvérise le record de vitesse toutes catégories. Trois mois plus tard, à l'âge de vingt-six ans, la ’ Fiancée de l'air’ s'écrase près du terrain de Guyancourt, après un vol d'entraînement. Une nation entière va prendre le deuil de celle qu'on appellera désormais la ’ Jeune Fille de France ’. Issue d'une famille bourgeoise, elle aurait pu suivre la voie de son père, architecte de renom. Elle préféra les vertiges de l'acrobatie aérienne, à laquelle l'initia le roi de la discipline, Michel Détroyat.
Là-haut, elle se détachait du quotidien terrestre et se jouait de la mort. Hélène Boucher se fit remarquer en février 1933 lors d'un raid France-Irak. Puis elle battit le record d'altitude féminin. En octobre, le public du meeting de voltige de Villacoublay s'enthousiasma pour ses évolutions acrobatiques ; elle ’ filait comme une hirondelle un jour d'orage, au ras des arbres ’, dira l'aviatrice Madeleine Charnaux. Dans le tumulte des Années folles surgit une aviatrice douée, dotée d'un immense appétit de réussite. Impétueuse et résolue, celle que la presse allait comparer à Jeanne d'Arc deviendra bientôt la ’ jeune fille de France ’. Bien malin qui eût prédit la trajectoire fulgurante de cette Parisienne, née en 1908, prise de passion pour l'air et la vitesse, qui consuma sa vie durant 26 années intenses, pulvérisa sept records du monde avant de s'écraser à bord d'un Rafale près de Guyancourt, en 1934.