FEUX DU CIEL (avec jaquette)
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Prix régulier 35,00 € TTC 6%
Après avoir raconté ses propres exploits, « le premier chasseur de France » raconte les faits les plus héroïques de l'aviation au cours des batailles livrées sur tous les fronts : Belgique, Pacifique, Japon, etc...
Trente et une illustrations hors-texte.
Trente et une illustrations hors-texte.
Caractéristiques
Format | 15 x 21,1 x 1,7 cm |
Nbr. de pages | 271 |
Année d’édition | 1951 |
Langue | Français |
Auteur | Pierre Clostermann |
Éditeur | FLAMMARION |
Description
15 € sans jaquette et 30 € avec jaquette, v. photos
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Ayant rapporté ses propres exploits avec le talent et la modestie que l'on sait, le célèbre auteur du GRAND CIRQUE nous parle à présent des faits les plus mémorables accomplis par d'autres héros, avec la hauteur des vues du combattant capable de reconnaître aussi bien les performances de l'ennemi que celles de l'allié.
Chacune de ces histoires d'aviateurs (choisies parmi des milliers d'autres) reconstitue un aspect particulier de la guerre aérienne, sous des latitudes et dans des circonstances diverses : en Belgique, au moment de l'avance allemande ; dans les îles du Pacifique lors de l'entrée en guerre du Japon ; dans la Pologne offerte par les Russes aux dernières vengeances allemandes ; en Extrême-Orient, à la poursuite de l'amiral Yamamoto ou dans les derniers sursauts de l'héroïsme japonais, à bord des avions-suicides...
Elles n'ont en commun que le courage et l'idéal de ceux qui les ont vécues. Elles démontrent surtout que, sous des formes variées, les hautes vertus de l'homme ne sont l'apanage spécial d'aucune nation.
Chacune de ces histoires d'aviateurs (choisies parmi des milliers d'autres) reconstitue un aspect particulier de la guerre aérienne, sous des latitudes et dans des circonstances diverses : en Belgique, au moment de l'avance allemande ; dans les îles du Pacifique lors de l'entrée en guerre du Japon ; dans la Pologne offerte par les Russes aux dernières vengeances allemandes ; en Extrême-Orient, à la poursuite de l'amiral Yamamoto ou dans les derniers sursauts de l'héroïsme japonais, à bord des avions-suicides...
Elles n'ont en commun que le courage et l'idéal de ceux qui les ont vécues. Elles démontrent surtout que, sous des formes variées, les hautes vertus de l'homme ne sont l'apanage spécial d'aucune nation.
Source : quaideslivres.fr
L'auteur, francophile, livre une vision réaliste (exempte de toute passion nationaliste ou politique) de la montée du nazisme dès 1933, vision intéressante pour l'histoire générale de la société allemande de l'entre-deux guerres au travers d'un destin individuel, celui d'Erbo.
« Erbo était mon frère, le quatrième sur les cinq fils de ma mère dont j'étais le dernier. Il était de quatre ans mon aîné et je l'admirais - pour ses folies, son courage, son côté casse-cou. L'aviation du IIIe Reich, la fameuse Luftwaffe, était toute désignée pour sa soif d'aventures. Il choisit la chasse, arme des chevaliers, des fins limiers et des artistes du manche. A peine sa formation finie ce fut la guerre de 39. Erbo fut de tous les fronts, Angleterre, Russie, Méditerranée, Afrique du Nord. C'est là où il fut abattu, la veille de Noël 1941, après 67 victoires aériennes. Deux semaines auparavant, Adolf Hitler lui avait remis les feuilles de chêne de la Croix de Chevaliers de la Croix de Fer. Quarante ans après sa mort j'ai trouvé l'homme qui l'avait vaincu, un capitaine australien de la R.A.F., as des pilotes de chasse alliés... »
Avant-propos de Pierre Clostermann
En 1946 j'ai commencé à réaliser un projet qui me tenait à cœur depuis 1940 : l'Histoire de la Guerre Aérienne. J'ai remué des centaines et des milliers de documents provenant des archives de la Luftwaffe, de la Royal Air Force, des United States Navy et Army Air Forces. J'ai lu pratiquement toutes les traductions de documents japonais réunis par le Pentagone à Washington, tous les ouvrages publiés en Amérique, en France, en Angleterre, en Suisse, en Italie et en Espagne... Déjà sont accumulés les fruits de quatre années de patientes recherches, et dans quelques mois si les évènements le permettent — cet ouvrage sera prêt.
Et c'est alors qu'arrivé presque au terme de ce travail, j'ai eu soudain conscience de l'orientation très grave imposée à l'historien de cette guerre par la forme même de la vaste documentation mise à sa disposition. Après avoir tout dépouillé, classé, fiché, rédigé, je me suis aperçu que de toute cette somme d'exploits individuels, de courage, de sacrifices souvent anonymes d'hommes de toutes races et nationalités, il ne reste finalement qu'une masse de papiers, de cartes, de photos, de chiffres et de statistiques.