ce jour là ! PEARL HARBOUR (prix réduit couverture abîmée)
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Pour reconstituer cet évènement mémorable, Walter Lord a fouillé des kilos d'archives, mis au jour des documents inédits, interviewé par centaines témoins et participants, tant américains que japonais. Avec une précision cinématographique, il fait revivre une journée qui, selon la déclaration du président Roosevelt, devait rester "à jamais marquée d'infamie".
Caractéristiques
Finition | Broché cousu |
État | Occasion (prix réduit couverture abîmée) |
Nb. de pages | 245 |
Année d'édition | 1970 |
Langue | Français |
Traduction | Traduit de l'anglais par Bernard Ullman |
Format | 15 x 24 x 3 cm |
Auteur | Walter Lord |
Éditeur | Robert Laffont |
Description
Heure par heure, la chronique, minute après minute, du "jour de l'infamie".
"Tora, Tora, Tora !"
C'est le cri de guerre et de victoire que les Japonais lancent ce matin-là en partant à l'attaque de Pearl Harbour. Le 7 décembre 1941, sans déclaration de guerre préalable, les forces aéronavales nippones prennent d'assaut et détruisent la base américaine de la rade d’Hawaï. Le lendemain, les États-Unis déclarent la guerre au Japon.
Pour reconstituer cet évènement mémorable, Walter Lord a fouillé des kilos d'archives, mis au jour des documents inédits, interviewé par centaines témoins et participants, tant américains que japonais. Avec une précision cinématographique, il fait revivre une journée qui, selon la déclaration du président Roosevelt, devait rester "à jamais marquée d'infamie".
Les avions approchaient, et de plus d'une direction. Sur le Raleigh, l'enseigne Korn distingua une mince ligne au nord-ouest. Sur l'Arizona, le matelot Pressier vit un groupe d'avions venant des montagnes de l'Est. Sur le Helm, seul navire en mouvement dans tout Pearl Harbour, qui se trouvait dans le chenal principal, le magasinier Frank Handler vit un autre groupe d'avions arrivant du sud à basse altitude. Le Pharmacien William Lynch entendit l'un de ses camarades du California dire "Il doit y avoir un porte-avions russe qui nous rend visite. J'ai vu nettement les cercles rouges sur les ailes de ces avions !” A bord de l'Helena, le matelot signalisateur Charles Flood observa attentivement à la jumelle des appareils.