LES ARMES SECRÈTES
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Des hommes comme Mussolini et Laval ont cru au mythe des armes secrètes allemandes.
Caractéristiques
Format | 11,5 x 16,5 x 1,5 cm |
Nbr. de pages | 171 |
Finition | Broché |
Particularités | planches photos hors texte en N/B |
Année d’édition | 1969 |
Langue | Français |
Auteur | Denis Baldensperger |
Collection / Série | DOSSIERS DE L’HISTOIRE |
Editeur | EDITIONS ROUFF |
Description
Résumé
Des hommes comme Mussolini et Laval ont cru au mythe des armes secrètes allemandes. En 1945 encore, l'Europe hitlérienne jurait qu'elle vaincrait grâce à une arme terrifiante. Cette armé était-elle la bombe atomique ? L’histoire racontée ici par Denis Baldensperger est l'une des plus extraordinaires de la seconde guerre mondiale. Les savants allemands ont déployé une énergie fantastique. Ils ont fait preuve d'un talent qui confine au génie. Ce faisant, ils n'ont rencontré qu'incompréhension auprès des dirigeants hitlériens. Les savants allemands pouvaient faire gagner « sa » guerre à Hitler. Ils en avaient les moyens. Faute d’être suivis par les milieux officiels, ils n'ont pas construit la bombe atomique. Néanmoins ils acquièrent la totale maitrise d'un engin nouveau : l'A4. C'est de l'A4 que naitront plus tard, aux États-Unis comme en Union Soviétique, les fusées qui, les premières, placeront un engin sur orbite. Il s'en est fallu de bien près que l'histoire soit autre qu'elle n'a été. Et si la première usine atomique s'était élevée à Peenemunde au lieu de s'édifier à Los Alamos ?
Des hommes comme Mussolini et Laval ont cru au mythe des armes secrètes allemandes. En 1945 encore, l'Europe hitlérienne jurait qu'elle vaincrait grâce à une arme terrifiante. Cette armé était-elle la bombe atomique ? L’histoire racontée ici par Denis Baldensperger est l'une des plus extraordinaires de la seconde guerre mondiale. Les savants allemands ont déployé une énergie fantastique. Ils ont fait preuve d'un talent qui confine au génie. Ce faisant, ils n'ont rencontré qu'incompréhension auprès des dirigeants hitlériens. Les savants allemands pouvaient faire gagner « sa » guerre à Hitler. Ils en avaient les moyens. Faute d’être suivis par les milieux officiels, ils n'ont pas construit la bombe atomique. Néanmoins ils acquièrent la totale maitrise d'un engin nouveau : l'A4. C'est de l'A4 que naitront plus tard, aux États-Unis comme en Union Soviétique, les fusées qui, les premières, placeront un engin sur orbite. Il s'en est fallu de bien près que l'histoire soit autre qu'elle n'a été. Et si la première usine atomique s'était élevée à Peenemunde au lieu de s'édifier à Los Alamos ?