AVIATEURS CELEBRES AU TEMPS DES HELICES
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Compte rendu par un écrivain anonyme pour la Revue Icare
Ostende 1973
— Je vois, dit le roi, nous avons l'esprit caustique !
C'est le roi Albert qui parle et il s'adresse à l'as Willy Coppens de Houthulst. Celui-ci termina la Première Guerre mondiale avec 37 victoires. Le roi Albert le nommera chevalier et, plus tard, le roi Baudouin baron. À la guerre il laissa une jambe, la gauche, et son ami Stampe lui construisit un avion « entièrement piloté à la main ». Cet esprit caustique, quand il a la chance de s'appuyer sur un fond solide de culture, d'honnêteté intransigeante et même de panache, comme c'est le cas avec notre baron, cet esprit caustique va procurer de bien grandes joies au lecteur.
Caractéristiques
Finition | Broché cousu |
État | Occasion bon état |
Nb. de pages | 129 |
Année d'édition | 1973 |
Langue | Français |
Format | 14 x 20 x 1 cm |
Auteur |
Willy Coppens de Houthulst |
Éditeur | Éditions Erel (Ostende) |
Compte rendu par un écrivain anonyme pour la Revue Icare
Ostende 1973
— Je vois, dit le roi, nous avons l'esprit caustique !
C'est le roi Albert qui parle et il s'adresse à l'as Willy Coppens de Houthulst. Celui-ci termina la Première Guerre mondiale avec 37 victoires. Le roi Albert le nommera chevalier et, plus tard, le roi Baudouin baron. À la guerre il laissa une jambe, la gauche, et son ami Stampe lui construisit un avion « entièrement piloté à la main ». Cet esprit caustique, quand il a la chance de s'appuyer sur un fond solide de culture, d'honnêteté intransigeante et même de panache, comme c'est le cas avec notre baron, cet esprit caustique va procurer de bien grandes joies au lecteur. Et le lecteur d'Icare, en la matière, est parmi les privilégiés puisque Willy Coppens lui a déjà fait découvrir au fil des numéros nombre de souvenirs et d'anecdotes concernant Olieslagers, Guynemer, Lindbergh, Costes et Bellonte ainsi que l'impayable Harmon et son trophée, sans oublier ces savoureux rappels des « meetings de ma jeunesse ».
Ce lecteur privilégié, s'il n'a pas eu la prudence de conserver la collection d'Icare, il a tout de même une chance supplémentaire : celle de se procurer le livre que Willy Coppens vient de terminer et dans lequel il a rassemblé des articles en ajoutant deux nouveaux chapitres, un sur le roi Albert aviateur et un autre
« Quand il ne reste plus que le souvenir » qui nous apprend bien des choses. Bravo, baron, nous nous régalons à vous lire, car vous nous avez donné là non seulement un compte rendu de pilote, mais encore un compte rendu d'écrivain. Caustique.