Grumman F8F Bearcat
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Regular price 35,00 € TTC 6%
N°20. The Aero Stories was at first a series of profiles of significant World War Two and 1930s aircraft, from number 24 it switched to military jets and later also included military helicopters and civil airliners.
Caractéristiques
Format | 19 x 27 x 1 cm |
Nbr. de pages | 52 |
Finition | Broché |
Année d’édition | 1969 |
Langue | Anglais |
Etat du livre | Bon état |
Auteur | Edward T. Maloney |
Collection / Série | Aero Series |
Editeur | Aero Publishers Inc, USA (later TAB Books) |
Description
The Aero Stories was at first a series of profiles of significant World War Two and 1930s aircraft, from number 24 it switched to military jets and later also included military helicopters and civil airliners.
Each book contains historical commentary, selected photographic material covering all aspects of the aircraft, technical data and specifications, four pages of color drawings, etc.
PROVIDES AN UNPRECEDENTED SOURCE OF MATERIAL FOR THE MODELER, MILITARY ENTHOUSIAST, COLLECTOR AND HISTORIAN.
Numbers 1-4
35 pages, 4 pages colour, 9¾ x 12 ins.
Numbers 5-23
52 pages, 4 pages colour, 9¾ x 12 ins, (except 60 pages in No.21).
Numbers 24-31
104 pages, more colour.
Numbers 32-42
70-128 pages, full colour, 9.5 x 7.8 ins.
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Profil offert gracieusement par son auteur Jacques Davy publié sur www.aeroprofils.com. Le Bearcat était le descendant direct des fameux Hellcat. En effet, durant l'été 1943 une équipe d'ingénieurs de Grumman commença, à la demande des autorités américaines, l’étude du remplacement du Hellcat. Ce fut le projet baptisé G58 qui utiliserait le même moteur que son prédécesseur, le très bon Pratt & Whitney R-2800 double Wasp. L’appareil était très allégé et son armement était diminué par rapport à son prédécesseur. En effet pour qu’il soit plus performant il avait une cellule allégée pour gagner en maniabilité et en vitesse ascensionnelle. Sa fonction prévue était un intercepteur léger embarqué sur porte-avions léger d’escorte. Les ingénieurs de Grumman étudièrent donc la cellule la plus légère possible pouvant accepter le poids important du moteur double Wasp R-2800 W. Les Américains avaient toujours en tête les performances des Zéro japonais qui étaient légers et bien motorisés et qui furent la surprise du début de la guerre du Pacifique. Il était donc important que le nouvel appareil batte les Japonais sur leur propre terrain, la maniabilité, même en sacrifiant les points forts habituels des Hellcat : armement et protection. Deux prototypes furent commandés le 27 novembre 1943 baptisés XF8F-1. Le premier vol eut lieu le 31 août 1944 seulement neuf mois après la commande. Les essais se déroulèrent à merveille même s’il fallut modifier la dérive pour résoudre une certaine instabilité en vol notamment en lacet. Les F8-F1 « Bearcat » arrivèrent trop tard pour participer aux combats de la Deuxième Guerre mondiale, mais ils furent toutefois embarqués sur les porte-avions US.Ces avions, particulièrement bien étudiés, sont considérés comme les meilleurs chasseurs à moteur à pistons de tous les temps, même s’ils n’ont jamais été au combat côté américain. Utilisation par la France. Les premiers Bearcat (44 ex.) sont arrivés à Saïgon le 07/02/1951 à bord du porte-avions ’Windham Bay’. La deuxième livraison (46 ex.) eut lieu le 25/03/1951 par le porte-avions ’Sitkoh Bay’. Le tout rejoignit le Parc 482 de Bien Hoa pour déstockage. D'autres livraisons à l'Armée de l'Air furent effectuées en 1952 et 1953 portant le total à 209 exemplaires, il s’agissait de F8F1/F8F1B. Les appareils étaient soit équipés de mitrailleuses soit de canons, ce qui explique les deux appellations, la version « B » correspondant à la version canon. Ces armes étaient facilement reconnaissables car si les mitrailleuses étaient entièrement noyées dans les ailes, les canons dépassaient du bord d’attaque. Le principal reproche fait aux Bearcat était leur relative faible autonomie, pour cela les appareils destinés à la France furent modifiés pour que les pylônes d’armement puissent aussi recevoir des réservoirs supplémentaires largables, les versions livrées avaient une désignation US F8-F1D et F8-F1BD. Unités françaises équipées de Bearcat : De nombreuses unités ont été équipées avec ces appareils, mais seulement pendant peu de temps et uniquement pour les combats en Indochine parfois les numérotations ont changé : Les derniers Bearcat furent soit rendus aux USA soit livrés au Viêt-Nam ou à la Thaïlande fin juillet 1956. Pendant les combats d’Indochine les Bearcat furent utilisés comme appareils d’appui et ils donnèrent entière satisfaction pour cet usage. De nombreux accidents furent déplorés, beaucoup au décollage ou à l’atterrissage, souvent sans trop de gravité pour le pilote, ce qui ne fut pas le cas pour les accidents au combat où de nombreux pilotes trouvèrent la mort... © Jacques Moulin 2011.
Each book contains historical commentary, selected photographic material covering all aspects of the aircraft, technical data and specifications, four pages of color drawings, etc.
PROVIDES AN UNPRECEDENTED SOURCE OF MATERIAL FOR THE MODELER, MILITARY ENTHOUSIAST, COLLECTOR AND HISTORIAN.
Numbers 1-4
35 pages, 4 pages colour, 9¾ x 12 ins.
Numbers 5-23
52 pages, 4 pages colour, 9¾ x 12 ins, (except 60 pages in No.21).
Numbers 24-31
104 pages, more colour.
Numbers 32-42
70-128 pages, full colour, 9.5 x 7.8 ins.
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Profil offert gracieusement par son auteur Jacques Davy publié sur www.aeroprofils.com. Le Bearcat était le descendant direct des fameux Hellcat. En effet, durant l'été 1943 une équipe d'ingénieurs de Grumman commença, à la demande des autorités américaines, l’étude du remplacement du Hellcat. Ce fut le projet baptisé G58 qui utiliserait le même moteur que son prédécesseur, le très bon Pratt & Whitney R-2800 double Wasp. L’appareil était très allégé et son armement était diminué par rapport à son prédécesseur. En effet pour qu’il soit plus performant il avait une cellule allégée pour gagner en maniabilité et en vitesse ascensionnelle. Sa fonction prévue était un intercepteur léger embarqué sur porte-avions léger d’escorte. Les ingénieurs de Grumman étudièrent donc la cellule la plus légère possible pouvant accepter le poids important du moteur double Wasp R-2800 W. Les Américains avaient toujours en tête les performances des Zéro japonais qui étaient légers et bien motorisés et qui furent la surprise du début de la guerre du Pacifique. Il était donc important que le nouvel appareil batte les Japonais sur leur propre terrain, la maniabilité, même en sacrifiant les points forts habituels des Hellcat : armement et protection. Deux prototypes furent commandés le 27 novembre 1943 baptisés XF8F-1. Le premier vol eut lieu le 31 août 1944 seulement neuf mois après la commande. Les essais se déroulèrent à merveille même s’il fallut modifier la dérive pour résoudre une certaine instabilité en vol notamment en lacet. Les F8-F1 « Bearcat » arrivèrent trop tard pour participer aux combats de la Deuxième Guerre mondiale, mais ils furent toutefois embarqués sur les porte-avions US.Ces avions, particulièrement bien étudiés, sont considérés comme les meilleurs chasseurs à moteur à pistons de tous les temps, même s’ils n’ont jamais été au combat côté américain. Utilisation par la France. Les premiers Bearcat (44 ex.) sont arrivés à Saïgon le 07/02/1951 à bord du porte-avions ’Windham Bay’. La deuxième livraison (46 ex.) eut lieu le 25/03/1951 par le porte-avions ’Sitkoh Bay’. Le tout rejoignit le Parc 482 de Bien Hoa pour déstockage. D'autres livraisons à l'Armée de l'Air furent effectuées en 1952 et 1953 portant le total à 209 exemplaires, il s’agissait de F8F1/F8F1B. Les appareils étaient soit équipés de mitrailleuses soit de canons, ce qui explique les deux appellations, la version « B » correspondant à la version canon. Ces armes étaient facilement reconnaissables car si les mitrailleuses étaient entièrement noyées dans les ailes, les canons dépassaient du bord d’attaque. Le principal reproche fait aux Bearcat était leur relative faible autonomie, pour cela les appareils destinés à la France furent modifiés pour que les pylônes d’armement puissent aussi recevoir des réservoirs supplémentaires largables, les versions livrées avaient une désignation US F8-F1D et F8-F1BD. Unités françaises équipées de Bearcat : De nombreuses unités ont été équipées avec ces appareils, mais seulement pendant peu de temps et uniquement pour les combats en Indochine parfois les numérotations ont changé : Les derniers Bearcat furent soit rendus aux USA soit livrés au Viêt-Nam ou à la Thaïlande fin juillet 1956. Pendant les combats d’Indochine les Bearcat furent utilisés comme appareils d’appui et ils donnèrent entière satisfaction pour cet usage. De nombreux accidents furent déplorés, beaucoup au décollage ou à l’atterrissage, souvent sans trop de gravité pour le pilote, ce qui ne fut pas le cas pour les accidents au combat où de nombreux pilotes trouvèrent la mort... © Jacques Moulin 2011.